Les maladies d’origine alimentaire touchent des millions de personnes à travers le monde et sont extrêmement coûteuses du fait des traitements médicaux, de la perte de productivité du fait de l’absence… sans parler des frais de justice et de leur impact médiatique pour les entreprises.

Publié dans la prestigieuse revue Harvard Business Review, une étude présente un projet de recherche pour essayer de trouver des moyens d’améliorer la manière dont les contrôles officiels aux USA sont menés.

Cet article transposable à notre continent et à la France est fort instructif et par du constant suivant : ces inspections se déroulent pratiquement de la même manière qu’elles se déroulent depuis des décennies et les gens tombent encore malades, ce qui laisse supposer qu’il y a toujours des problèmes et d’autres points durs qui ne sont pas détectés (ou qui ne sont pas résolus lorsqu’ils sont détectés).

On peut y lire que le moment où est réalisé l’inspection influence le nombre de non-conformités. La durée et le risque de dépasser la durée du temps de travail a également une influence. Les résultats de l’inspection précédente peuvent également influencer l’inspection réalisée à la suite.

Les auteurs estiment qu’avec les axes d’amélioration proposés une diminution de 1/5 des coûts liés à la sécurité des aliments pourrait être envisagée.

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